Exposition d'art textile "Fêtes du Monde" à Nogent-le-Roi
Simone Pheulpin coupe, plie et replie à n’en plus finir des bandes de coton des Vosges.
Du coton non décati et acheté au mètre. Des kilomètres qu’ensuite, cette artiste serre, assemble et épingle pour créer un monde de sculptures aux formes minérales, végétales ou géologiques.
Mais au-delà de la simple surprise que ses œuvres poétiques et énigmatiques engendrent, se cache une autre forme artistique. Une sculpture dans une sculpture.
Tetsuo Harada est né dans un petit village japonais au milieu des rizières, un beau matin de 1949 ...
1973.
Tetsuo Harada part pour l'Europe, grâce à l'argent récolté par la vente de son projet de fin d'étude au Japon. Il visite Paris, Chartres, le sud de la France, la Suisse, l'Allemagne, travaille dans un atelier d'artiste. Il revient dans la capitale française, s'insrit à l'école supérieure des beaux arts et décide alors qu'il vivra de son art, la sculpture. Pour forcer ce destin choisi, il jette un jour dans la Seine son billet d'avion retour pour le Japon.
Quelques mots d'Harada
"On essaie de transmettre la force qu'on a ressenti puis face à la forme qui se crée dans nos mains, il faut aller plus loin, dépasser le projet initial. Ma sculpture est un voyage dans mon imaginaire, j'espère qu'elle permet aux autres de voyager dans leur monde imaginaire personnel "
Quelques expositions
Land art " les champs de Beauce "près de Chateaudun
"38e parallèle, l'horizon"